Droles de Nouvelles

Les aventures de Pouic-Pouic le pingouin asthmatique

                            Aussi appelées :

« J’ai pas trouvé plus con comme titre, on fera avec »

13h30 du matin, dans la petite ville de Los Demonos.

La lueur blafarde d’un vieux néon usé par le temps éclaire le visage sombre de notre héros Pouic-Pouic. Face à lui se trouve un homme d’une cinquantaine d’années, les joues creusées, le regard torve, et la moustache frétillante.

L’homme s’incline légèrement sur le vieux fauteuil usé par le temps que Pouic-Pouic met à la disposition de ses clients. Il se gratte le menton, lâche un discret prout malodorant, et s’adresse à notre courageux héros en tirant une latte sur son cigare en papier mâché :

- Pouic-Pouic aidez moi ! Vous êtes mon dernier espoir !

- Je sais mon vieux fit Pouic-Pouic. J’ai l’habitude. Racontez-moi tout mais par pitié, prenez un chewing-gum Emile !

- Je m’appelle Gontran !

- Peu importe Maurice ! Reprenons : vous pensez que votre femme vous trompe avec le facteur ! Qu’est ce qui vous fait penser une chose pareille ?

- A vrai dire c’est l’instinct, et aussi parce que c’est un vieux cliché et que j’avais pas envie de me casser la tète avec une intrigue en béton.

- J’en suis fort aise Rémi. Je m’attaque à votre affaire tout de suite. Ce sera 5000 dollars canadiens d’avance, et 400 francs suisses dès que j’aurai liquidé la cible…

- Mais je ne veux tuer personne !

- Bordel et le quota de violence dans tout ça ?? Vous me faites passer pour un baltringue auprès du lectorat Jean-Jacques ! Pour la peine, je vais aller me taper une pingouine, on aura au moins une scène de sexe gratuite et totalement déplacée !

Sur ces belles paroles, Pouic-Pouic fit sortir Hector de son bureau et se versa une bonne rasade d’un vieux whisky usé par le temps. Il se rappelait avec émotion du jour ou il avait dit à son père qu’il lutterait pour la justice et deviendrait détective privé.

Hélas, il avait vite déchanté quand il eut comprit que son travail consisterait principalement à s’occuper d’affaires d’adultères et autres pingouineries peu excitantes.

« Monde de merde ! fit Pouic-Pouic dans un râle.

Bon la critique sociale ça c’est fait… allez en route le travail m’attend !! »

Deux heures plus tard, dans un vieux jazz-bar usé par le temps.

Pouic-Pouic sirotait un thé glacé au munster tout en jouant une mélodie au piano quand soudain une ravissante serveuse vint secouer ses longues mèches blondes devant son bec.

 Leur regard se croisa et Pouic-Pouic fit dans un murmure :

- Alors, ou est-il ? 

- Désolé Pouic-Pouic, votre contact ne n’est pas montré aujourd’hui ! Peut-être est il encore dans sa planque, à l’opposé de la ville !

- Aussi loin qu’il le faut, j’irai trouver au bout le contact ! 

- Si jamais je le croise avant, voulez vous que je lui dise quelque chose ?

- En effet je serais ravi que mon amie la blonde de choc propage le message ! Dites lui qu’il doit se renseigner sur une certaine madame Ledoux ! Et aussi qu’il arrête de me prendre pour Danny de Vito !!

- Ce sera fait ! Au fait Pouic-Pouic tant qu’à jouer du piano, vous ne pourriez pas changer de note un peu? Vous êtes sur le sol depuis maintenant deux heures !

- De toutes façons, je dois y aller et puis le temps se gâte. Je quitte le sol, l’orage se prépare !

Peu après, dans une ruelle sombre de Los Demonos.

Pouic-Pouic tentait de se frayer un passage entre les macs et les dealers qui entravaient son chemin, celui d’un quartier si resplendissant du temps de sa jeunesse…

Diantre quelle décadence ! Quel gâchis !

En effet Pouic-Pouic se remémorait avec nostalgie du temps ou son père l’y accompagnait, quand les putes étaient encore fraiches et que la drogue y était de bien meilleure qualité.

Mais l’heure n’était pas aux souvenirs. Le contact n’était toujours pas en vue.

Soudain, Pouic-Pouic trébucha sur une bouteille de gin dont il reconnut tout de suite la marque en se relevant. Bon sang ! Et si c’était…

- 001 ! C’est toi vieille canaille (usée par le temps) ?

Sous les yeux ébahis de Pouic-Pouic, un vieil homme en imper moisi trainait à même le sol,

le regard perdu, l’haleine fétide, et le pubis taillé en trèfle à quatre-feuilles.

- Pouic-Pouic ? Bon sang, pourquoi a-t-il fallu que tu viennes me chercher ? Je ne suis plus que l’ombre de moi-même !

- Voyons que dis-tu mon cher ami hermaphrodite ! Tu es resplendissant comme toujours ! Ton épilation est parfaite !

- Non je veux dire, tu vois ce type là-bas, il s’appelle MoiMeme et il me paie pour faire son ombre, il n’en a pas et ça le complexe !

- Euh certes… tu ne travailles donc plus pour moi ! Tu aurais pu me prévenir ou même m’appeler !

- J’aurais bien voulu mais j’ai un forfait bloqué et j’ai dépensé mes derniers crédits pour appeler ta tante sur le téléphone rose ! Quelle coquine dis donc !

- M’en parle pas, en plus quand c’est moi qui appelle elle me fait moitié prix !

Ahahahahahah non je plaisante bien sur !!!

C’est gratuit. Bref, revenons à nos pingouins.

J’ai besoin d’un nouveau contact. Tu peux me conseiller quelqu’un ?

- Mh eh bien je connais un phoque très compétent. Il s’appelle Youri Tipopovitch, enfin pour les intimes c’est « You ». Dis lui que tu viens de ma part et appelle le par son petit nom !

Peu après après, dans une nouvelle ruelle sombre de Los Demonos.

Pouic-Pouic martèle une vieille porte usée par le temps quand enfin un individu d’une masse corporelle impressionnante vient lui ouvrir.

- Phoque « You » ?

- You’re dead, son of a pingouine !

L’animal se jette sur Pouic-Pouic qui a à peine le temps de répliquer en lui faisant un mawashi-geri d’une rare finesse. Youri s’effondre à terre tandis que Pouic-Pouic tente de se justifier tout en allumant un cigare en pate à modeler.

- Je ne voulais pas t’offenser Youri ! C’est 001 qui m’envoie, j’ai besoin de toi sur une affaire d’adultère ! Tu connais une certaine madame Ledoux ?

Youri se relève péniblement et réplique alors dans un rire franc et tonitruant :

- Madame Ledoux ? Bien sur, on a baisé comme des lapins toute la nuit !

- Comme des phoques tu veux dire ? A ce propos, je croyais que vous étiez tous homosexuels ?

- C’est une couverture, les filles nous approchent plus facilement !

- Oui je vois bien que c’est une couverture, arrête de me tendre tes draps de lit sous le nez !

- Oh pardon ! Bref oui je suis gay mais Madame Ledoux m’excitait tellement avec sa barbe naissante et son gode-ceinture en plaqué-or ! Je n’ai pas pu résister !

- Mh, l’affaire se corse. As-tu eu vent d’autres aventures extra conjugales de madame Ledoux ?

- C’est bien simple, elle couche avec le premier venu !

- La garce ! Mon client sera vraiment déçu d’apprendre que sa femme est une trainée qui couche avec tous les hommes de Los Demonos !

- Non je veux dire, tu vois ce type là-bas, il s’appelle Lepremier-Venu et il a couché avec elle, après j’en sais pas plus ! Allez salut Pouic-Pouic, je dois te laisser j’attends George Michael !

Peu après après après, dans une nouvelle nouvelle ruelle sombre de Los Demonos.

-        C’est que ça commence à devenir lourd !

-        Désolé Pouic-Pouic mais il faut bien situer le lecteur ! Oh et puis ta gueule, t’es qu’un connard de pingouin d’abord !

Cela étant, Pouic-Pouic maltraite une vieille sonnette usée par le temps quand enfin un individu malingre et chétif vient lui ouvrir.

- Oui ? C’est pour la banque du sperme ?

- Calmez-vous fait Pouic-Pouic, je suis détective privé ! Rangez donc votre engin, que je puisse vous poser quelques questions…

- Vous êtes détective ? Quelle chance, j’aimerais vous confier une enquête ! Je peux vous régler en liquide ?

- Chaque chose en son temps, je travaille déjà sur une affaire ! Et pour l’amour des pingouins, rangez donc votre attirail, merde !

- Au temps pour moi. Je vous écoute, je dirais même je bois vos paroles !

- Voila : Youri m’a dit qu’un certain Lepremier-Venu avait couché avec madame Ledoux, confirmez vous ces dires ?

- Moi ? non ! Mais je vais demander à mes enfants ! Eh Jack ! Facial ! Vous avez déjà fait des cochoncetés avec une certaine madame Ledoux ?

- Bien sur ! répondirent en chœur les deux gamins. Au fait papa tu nous donnes un peu d’argent pour acheter des gourmandises ?

- Enfin les enfants, j’ai toujours des Kinder Pingui à la maison !

- J’en sais assez fit Pouic-Pouic, je vous laisse à vos activités familiales !

- Merci, d’ailleurs ma belle-mère arrive, ca va être le branle-bas-de combat ici ! Au revoir !

C’est sur cette réplique digne d’un Michel Audiard au top de sa forme que nous laissons pour un temps Pouic-Pouic à ses activités animalières.

Revenez bientôt pour la continuation de ses aventures (et porc) épiques !

A SUIVRE

La croisière s'amuse

épisode jesaispasjaioubliédecompterdepuisunbail :

Le Pacific Princess Vs L'assurance Tous Risques

(featuring Mister T.-glacé)

Alors que le Pacific Princess (c'est le nom du bateau...hé oui on en apprend tous les jours) vogue sur les eaux calmes du Pacifique sud, tadaaaaaaaaaa générique !!!

Love is expecccctiiiiiiinnng you ......

Et là, le célèbre trombinoscope avec:

-le commandant Stubing, qui commande tout à bord, même du foie gras quand il a envie

-le barman Isaac, qui sert à boire derrière son bar ce qui somme toute semble assez logique

-la charmante (et coquine) hôtesse Marie, qui s'occupe en long en large et en travers (moyennant finances) des passagers du bateau

-le docteur Koidneuf, qui est là pour soigner les passagers, du moins en théorie car il est plus souvent au bar qu'à son cabinet

-la fille du commandant, Miqueline, qui passe son temps à demander de la tune à son commandant de père

-le mousse Tafa (c'est de pire en pire)

-et enfin ce brave Goffer, toujours (ou presque) fidèle à son poste

Alors que le commandant Stubing se promène tranquillement sur le pont principal, minutieusement astiqué par de jeunes vietnamiens de 5 ans et demi, soudain un hors-bord vient l'interrompre dans ses pensées...

Et à son bord, l'Assurance Tous Risques!!! Diantre!!

-Rendez-vous, vous êtes cernés par la mer, s'exclame Hannibal ,le digne chef de l'assurance Tous Risques, accompagné de Futé, qui comme son nom ne l'indique pas, est con comme un balai, Mister T.-glacé, un ex-agent secret de la CIA, du FBI, d'Interpol, et de Pif Magazine, Looping, qui est un peu le bras droit de Hannibal ,surtout quand il a besoin de se gratter le dos, et enfin Vanity, la chaudasse du groupe, qui séduit l'ennemi pour mieux lui latter les couilles ou encore lui glisser discrètement une sonde anale.

Raaaaaaaassssseeeeeeemmmmmmmmmbbbbblllllllleeeeeeeemmmmmmmmmeeeeeeeennnnnnnnnntttttttttt !!! éructe alors le commandant Stubing, conscient du danger qui menace son fier paquebot, et c'est bien vrai d'ailleurs ,il n'est pa-que-bot il est intelligent aussi , mais là on s'égare...

Tout à coup, à la vitesse de la lumière tel les power rangers, les fiers membres de l'équipage du Pacific Princess se retrouvent devant le commandant, au garde-à-vous.

-Messieurs, fait le commandant, la situation est grave : nous sommes attaqués par l'Assurance Tous Risques

-Quoi??? fait Goffer, mais enfin c'est impossible. Mon frère Futé ne pourrait jamais faire une chose pareille !!

Tadaaaaaa! Retournement de situation. La tension monte. Allez, un verre de gin bien tassé et on y retourne...

-Mais enfin Goffer pourquoi n'as-tu rien dit avant!!! s'exclame Miqueline

-Mais parce que je croyais que Futé s'était rangé. On m'avait dit qu'il s'était marié avec Mister T.-glacé et qu'ils coulaient des jours heureux dans la foret amazonienne...

-C'était une ruse! s'écria le docteur Koidneuf, qui, malgré les événements, restait toujours très lucide.

-On m'aurait menti ???

-L'heure n'est pas aux jérémiades fit le commandant Stubing, il est temps d'appliquer le plan B !!!

-Pourquoi pas le plan A ? fit Marie, la charmante (et coquine) hôtesse

-Parce que mon chien l'a mangé. Bien, voici ce que vous devrez faire:

Goffer tu vas préparer le lance-missiles que nous avons piqué à ces enfoirés de clandestins yougoslaves, Docteur vous allez faire une injection de potion magique à tous les passagers, Miqueline tu vas me masser les orteils, Marie tu vas ...hmm c'est bien Marie tu apprends vite... et enfin toi Isaac, tu vas aller sur la proue comme Dicaprio dans Titanic, et tu vas agiter les bras en l'air. Avec un peu de chance ils te prendront pour cible et comme ça on gagnera un peu de temps.

D'une seule voix, l'équipage tout entier s'exclama:

-BIEN MON COMMANDANT !!!!!!!!!!!!!!

-Pas si fort les enfants, vous allez bousiller mon sonotone. Ceci dit, tous à vos postes !!!

Hélas, le brave commandant Stubing n'avait pas mesuré toute la perfidie de l'Assurance Tous Risques

En effet Mister T.-glacé a sauté du hors-bord et s'introduit dans le Pacific Princess par le conduit d'aération. Ok c'est super balèze vu que Mister T.-glacé pèse au moins 2 tonnes, mais il est aussi très agile. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il se retrouve dans la cabine de Marie, la charmante (et coquine) hôtesse.

Ne reculant devant rien, Marie fait sacrifice de son corps pour tromper l'ennemi. Après avoir joui une trentaine de fois (soit 12 minutes plus tard), Mister T.-glacé est tout fatigué. Marie en profite alors pour lui décocher un Mawachi-Geri dans la face qui laisse Mister T.-glacé sur le carreau.

Pendant ce temps-là, alors que le docteur Koidneuf ramasse les morceaux d'Isaac sur le pont principal, Goffer arme le lance-missiles et tire...mais stupeur, les membres de l'Assurance Tous Risques sont déjà sur le Pacific Princess .

Tadaaaaaa !!! Là le spectateur a (normalement) les mains moites. Mais qu'est ce-qui va-t-il donc se passer ???

Futé débarque le premier sur le navire. Il fait face à Goffer.

-Goffer, il n'y pas assez de place pour nous deux sur ce navire!!!

-Mais non, rétorque Goffer, il reste encore plein de cabines libres

-Allons, bats-toi comme un homme, à défaut de pouvoir te battre comme un mousse.

Cette phrase anodine met Goffer dans une colère noire. Il sort son gode-laser que lui a offert le commandant Stubing pour Noel, et empale le pauvre Futé qui n’en demandait pas tant.

Ce dernier s'enfuit tant bien que mal, alors que Looping fait son apparition sur le bateau.

-Bonjour monsieur, c'est bien ici le Pacific Princess s'il vous plait ?

-Non non, lui répond alors avec son habituelle vivacité d'esprit le docteur Koidneuf, ici c'est le porte-avions Charles de Gaulles. Mais vous trouverez facilement, il suffit de suivre le vent.

-Merci monsieur, et Looping, dupé par le docteur Koidneuf, repartit à la nage.

Vanity arriva ensuite sur le pont, suivi de Hannibal, le digne chef de l'Assurance Tous Risques.

-Vanity, occupes-toi de Goffer et du docteur Koidneuf, moi je vais me charger du commandant Stubing.

-C'est ce qu'on va voir, espèce de petite pisse de cul, répondit le fier commandant, jamais à court de répliques mordantes.

Soudain, Vanity se jette sur le sexe tout émoustillé de Goffer. Ce dernier, en voyant le décolleté absolument phénoménal de son adversaire, bande comme un âne. Vanity en profite pour faire un nœud avec son engin , technique ancestrale qu'elle a appris chez les moines shaolin.

 Goffer, tétanisé, se jette à l'eau dans le but de soulager sa douleur.

-Les enfoirés ! Ils ont castré Goffer ! s'écrie alors le docteur Koidneuf.

Armé de son stéthoscope, il s'élance vers Vanity et la capture en s'en servant comme corde:

c'est que le docteur Koidneuf, en plus d'être un éminent chirurgien, possède un brevet es manip-de-ouf , mention plus-que-très bien (MacGyver n'a eu que passable...)

Il l'emmène alors dans sa cabine et lui fait subir les pires outrages : enchainée dans un coin de la salle de bains, Koidneuf s'approche avec son sexe enduit de miel et ...

Mais c'est alors que Hannibal se jette furieusement sur le commandant Stubing !

La bataille fait rage ! (cette phrase a-t-elle un sens ? si non, appelez le 13)

Stubing sort son couteau suisse et embroche alors Hannibal qui n'a pas eu le temps de réagir.

A la merci du courageux commandant, ce dernier s'écrit :

-Va chier Bozo !

Stubing le finit donc à coups de stylo-bic (jusqu'à très tard le soir...)

Ouf ! Quelle aventure !! Tout est donc bien qui finit bien sur le Pacific Princess...

                      FIN

La croisière s'amuse

épisode houlalamaisyenatellementquonlescomptesplus :

Mais ou est donc cet enculé d' Goffer?

 (traduit de la version américaine : where's this fucking bastard Goffer...son of a bitch!!!)

Alors que le Pacific Princess (c'est le nom du bateau...hé oui on en apprend tous les jours) vogue sur les eaux calmes du Pacifique sud, tadaaaaaaaaaa générique !!!

Love is expecccctiiiiiiinnng you ......

Et là, le célèbre trombinoscope avec:

-le commandant Stubing, qui commande tout à bord, même du foie gras quand il a envie

-le barman Isaac, qui sert à boire derrière son bar ce qui somme toute semble assez logique

-la charmante (et coquine) hôtesse Marie, qui s'occupe en long en large et en travers (moyennant finances) des passagers du bateau

-le docteur Koidneuf, qui est là pour soigner les passagers ,du moins en théorie car il est plus souvent au bar qu'à son cabinet

-la fille du commandant, Miqueline, qui passe son temps à demander de la tune à son commandant de père

-le mousse Diouf (sans commentaire)

-et enfin ce brave Goffer, qu'on sait toujours pas ou il est mais rassurez-vous on va le retrouver avant la fin de l'épisode.

Soudain,la radio de bord sonne. Tututututututut! Une transmission! Comme dans les vieux films tout pourris!

-Ici le Pacific Princess, on vous écoute!

-Je dois vous prévenir d'un danger imminent! Appelez le commandant! Roger, terminé.

-Mais non moi c'est José. Y'a pas de Roger ici.(Ok ca marche moins bien qu'en live mais bon...faites-le chez vous, vous allez voir c'est drôle de drôle)

-Un sous-marin russe se dirige vers vous. Ils ont pas l'air commodes.

-C'est qui Aude ? Je commence à me demander si vous vous êtes pas trompés de bateau...

-Enfin jeune homme écoutez moi. La situation est grave. C'est clair, non?

-Claire? Ah désolé elle est allé chercher un café . Bon je vous laisse, je vais regarder le Bigdil.

Au même moment, sur le pont principal, le commandant interpelle Marie, la charmante (et coquine) hôtesse:

-Dites moi Marie, n'auriez vous pas vu Goffer par hasard ?

-La dernière fois que je l'ai vu, il se chatouillait les sœurs jumelles derrière le hublot qui donne sur ma douche.

-Un hublot qui donne sur la douche ? Quelle idée farfelue ! Quel est l'imbécile qui a conçu les plans du bateau ?

-Mais c'est vous capitaine...

-Bref, bref, bref...Je vais chercher Isaac pour voir s'il n'a pas de nouvelles de Goffer.

-C'est impossible commandant, il fait déjà nuit et Isaac est noir.

-Vous avez raison ma petite Marie, je vais plutôt aller voir Miqueline.

-Miqueline ? Elle est en train de faire un exposé sur la triple pénétration vaginale avec un certain passager du nom de Roccoco Siffredo.

-Dans ce cas, il vaut mieux éviter de la déranger, pour une fois qu'elle travaille...Bon ben je vais chercher Goffer tout seul...

Tandis que pendant ce temps... Une femme court dans les couloirs du pont principal (l'architecture de ce bateau est super balèze)

-Docteur!!!Docteur!!!Docteur!!!

-Un problème madame ?

-Qui êtes vous ???

-Koidneuf, docteur (vous vous y attendiez pas à celle-là, hein ??)

-Vous êtes l'homme de la providence !! Mon mari s'est fait dévorer par un requin marteau.

Par pitié ,sauvez-le!!

-Mais ou est-il ?

-Là, sous vos pieds

-Bon sang il ne reste que la tète, une main et un genou...c'est grave, très grave...

-Vous êtes sur, docteur ??

-Ecoutez je dois faire un examen approfondi mais j'ai bien peur que votre mari soit en danger de mort!

-Mon dieu !!!

Taddddaaaa! Trompette, coup de théatre. Là c'est l'instant tragique de l'épisode.Ca vaut bien une courte page de pub.

Avec carambar, je suis drôle de drôle!!! Achetez des carambars !!!

C'était la pause publicitaire. Reprenons.

Le commandant Stubing, lui ,cherche toujours cet enculé d'Goffer...Soudain il rencontre le jeune homme de la radio, le radiologue quoi (oui enfin je suis pas sur mais bon...)

-Commandant ! Nous avons reçu une transmission. Les russes veulent nous attaquer!

-Quoi??? Les russes ??? Que tout le monde évacue, les femmes et les enfants d'abord!!!

-Mais on a pas encore reçu les canots de sauvetage de chez IKEA

-Ecoutez c'est pas le moment de s'embarrasser de détails, faites ce que je vous dis...et allez me chercher un sandwich aux cornichons, j'ai les crocs.

-Bien mon commandant

Quant au docteur, il s'occupait activement du malheureux passager.

-Pinces! Ecarteur! Scalpel! Tournevis! Tronçonneuse!

-Mon dieu docteur ,allez-vous pouvoir sauver cet homme?

-Je regrette mademoiselle, mais j'ai bien peur que oui. Le pouls de cet homme bat encore.

Ah non tiens, c'est ma montre.

-Docteur attention, vous lui marchez sur les testicules.

-Je vous avais dit de les ranger dans le placard. Bon tant pis on lui recoudra des Kinder surprise à la place

-Je pourrai avoir le cadeau?

-Taisez-vous jeune homme, le moment est grave. Tenez lui soigneusement la tète que je lui recouse le cou.

-Je crois que ce jeune homme a perdu la tète.

-Pourtant il avait une bonne tète.

-Et dire qu'avant il avait une tète de plus que moi. (Nb: hommage, quand tu nous tiens !)

-Et voila, ca y est!!!Yiaaaahhhhhh !!! Bon virez moi ce zombie de la table d'opération, faut que je fasse ma sieste.

Alors qu'au même moment, le commandant fouillait les dernières cabines du bateau quand il entendit des cris rauques venant de la cabine de sa fille.

-Miqueline ?? Qu'est-ce que tu fais ma chérie ??

-Mes travaux pratiques, papounet

-Ah d'accord, continues ma puce

-Merci pap...AAAAAAHHHHHHHHHH

Le commandant continuait sa ronde quand il aperçut soudain le jeune mousse Diouf en train d'effectuer des mouvements du bassin d'arrière en avant.

Il se rapprocha et vit une scène qu'il en fait encore des cauchemars aujourd'hui.

-Goffer!!!Qu'est-ce que vous foutez à quatre pattes ?

-Euh...Je cire le parquet ??

-Vous me ferez 30 jours de cachot avec votre ami Isaac.

-Pourquoi Isaac, qu'a t-il fait ?

-Vous demanderez au mousse Tikere

Soudain, un jeune mousse se jette sur le commandant

-Commandant! Commandant! Les russes!!!Ils sont là!!!

-Servez-leur un verre de vodka et faites-les entrer dans ma cabine

Et c'est ainsi que tout finit bien entre le Pacific Princess et le sous-marin russe, grâce à la cordialité de ce cher commandant Stubing.

FIN

::: SUITE ET FIN de l'enquète n°1 de Bullit & Ripper ! :::

Nos deux agents réussiront-ils à coincer les malfrats qui ont tenté de les faire assassiner ? Retrouveront-ils Sir Francis Lalanne, à moins qu'il ne se soit égaré dans les bois à tout jamais ?

Vous saurez tout cela dans :

Les aventures de Bullit et Ripper

Enquète° 1 : Mais qui a tué Harry Cover ?

Episode final : C’est pas moi c’est mon sosie t’as saisi !

-Corneguidouille ! Entendez-vous ce chant au loin ? Est-ce une sirène ?

-Vous vous méprenez Bullit, mais cette erreur est bien légitime : il s'agit de Sir Francis Lalanne en train de s'éclaircir la voix à 2 pas d'ici. Venez, allons-y !!

A la lisière du bois, nos 2 héros tombent alors nez à nez avec le divin poète, prosterné devant un vieux chêne aux branches fébriles.

-Sir Lalanne... Agent Bullit, F.B.I, j'aurais quelques questions à vous po...

-Chuuuutt ! Respectes le silence de la nature, sacripouille !

-Nous n'avons malheureusement pas le temps, nom d'une pipe en bois-sans-soif, l'assassin court toujours...

-Vous voulez sans doute parler du meurtre de Sir Cover ? Quel tragique destin pour cet homme admirable, vice-président de Greenpeace et fervent admirateur du chant du coquelicot à l'aurore, alors que le tracteur du père Matthew n'a pas encore laissé sa trace sinueuse dans les champs fraichement labourés de son ami Sir Patrick Stewart, maitre de conférences de son état.

-Certes oui, mais auriez vous quelques renseignements à nous donner ? Cela nous serait fort utile car pour l'instant, l'enquête piétine...

-Tout ce que je peux vous dire, c'est que le meurtrier a une jambe en bois fabriquée à Vladivostok en 1631, et que sa vieille tante souffre d'un lumbago depuis le grand marathon de Boston ... Je ne puis malheureusement vous aider davantage, voilà que le jour se lève et déjà mon inspiration me dicte d'écrire une nouvelle chanson qui s'intitulera :"La nature est belle , je la kiffe trop ouais mec"

Un peu plus tard, dans un recoin sombre de NewPork : nous retrouvons 2 sinistres individus tristement célèbres en train de comploter contre nos 2 héros , je veux bien sur parler de Sir Roger Moore et Sir Noel Gallagher ( les sinistres individus, pas les héros NDLR !)

-Sans vouloir être insultant très cher, fit Sir Gallagher, votre plan et ce qui sort de mon anus se ressemblent bigrement !

-Allons, gardez votre sang-froid, il est indéniable que "The Black Shadow" n'a pas été à la hauteur de sa réputation, mais rien n'est perdu ! Il suffit de discréditer ces 2 agents afin d'"enterrer" leur enquête...

-Et comment comptez-vous vous y prendre, sans vouloir vous froisser ?

-J'ai un contact dans la police de NewPork... mais je ne voudrais pas en dire plus, nous sommes peut-être sur écoute... regardez ce livreur de pizzas derrière vous, il m'a l'air louche... et pourquoi donc tient-il un magnétophone dans la main droite et un appareil photo dans la main gauche ?

-Allons, laissez, cela n'a aucune importance ! Contactez donc ce contact et finissons-en au plus vite ! Il ne faudrait pas que nos plans tombent à l'eau, sinon ils seraient tout mouillés !

( Note de l’éditeur : veuillez dire à l’auteur d’arrêter les blagues carambar, merci )

Je vais prévenir notre homme d'accomplir sa dernière "mission" et enfin nous pourrons quitter cette ville l'esprit tranquille et le ventre plein, après être passé au Burger King et s'être enfilé 3 Cheese-Bacon, 2 grandes frites sauce mayo et un demi-litre de cidre blanc !

( Note des sponsors : discret et bien placé, chapeau les mecs !)

Cependant, nos 2 héros avaient décidé de faire une halte o combien méritée au

 "!!!FuckMeImFamous!!!", un club de strip-tease réputé dans la région.

Alors que Bullit sirotait tranquillement une Téquila sunrise on the rocks and roll, Ripper regardait d'un oeil discret une sublime stripteaseuse blonde qui venait de lui lancer sa fine culotte en cuir brodé dans la figure.

-Bon sang Ripper, je ne vous reconnais plus ! Il n'y a pas si longtemps encore, vous vous seriez jeté sur cette jeune créature tel un chien en rut, et vous l'auriez violé jusqu'à plus soif, tandis que j'aurais maitrisé ses gardes du corps à coups d’espadrilles... mais enfin, qu'est-ce qui vous arrive ??

-Vous avez raison Bullit... je crois que je n'ai pas le moral.

 C'est cette enquête... Voilà bientôt une semaine que nous sommes là et pas le moindre suspect ! Rah, j'enrage !!!

Garçon, un autre lait-fraise bien tassé !!

-Du calme Ripper... ne faites pas de folies... vous savez ce qu'on dit, un verre ca va, 2 verres ca va, 3 verres ca va... 28 verres, bonjour les dégâts !!!

-M'en fous... ce soir, c'est grand soir !!! Hips...

Soudain , l'esprit embrumé de Ripper retrouva sa vivacité habituelle : il avait remarqué un élément qui avait mis toutes ses neurones en alerte.

 -Bon sang Bullit, regardez, là , l'homme accoudé au bar, entre le troll à lunettes qui ressemble vaguement à un ornithorynque des Carpates, et le géant vert avec une chemise bleue arc-en-ciel d'une exquise sobriété.

  Que voyez-vous ???

-Je vois... je vois... bon sang mais c'est bien sur ! Sir Thomas Ketchup ! Que fait ce jeune homme dans un tel lieu de villégiature ! Le garnement, je m'en vais lui tirer les oreilles et lui flanquer une bonne correction !

-Vous ne saisissez pas... il lui ressemble, mais ce n'est pas lui... Regardez cet homme de plus près : il a les yeux verts. Or Sir Thomas Ketchup a les yeux émeraude !!!

-C'est exact... Ketchup aurait donc un frère jumeau... pourquoi nous avoir caché ce détail insignifiant, mais néanmoins crucial ??

-C'est ce qu'il nous faut découvrir... Approchons-nous discrètement et appréhendons vivement ce douteux individu !

Hélas, le sosie de Ketchup fit brusquement volte-face et, reconnaissant nos 2 héros, se met soudain à accélérer la cadence. Bullit, faisant fi de toute cette agitation, grimpe sur le podium de la strip-teaseuse, lui arrachant son string multicolore au passage, et se jette sur le vil individu qui s’apprêtait à se cacher dans les toilettes dames.

-Plus un pas malheureux ! Pourquoi donc fuis-tu avec autant de conviction les représentants de l’autorité ?

-J’ai rien fait, c’est pas moi ! D’ailleurs, je n’aime pas Corbier !

-Ah ah tu t’es trahi fit l’agent Ripper qui venait de ramener sa fraise, cette info n’a pas encore été communiquée… tu es donc l’auteur du vol !

De surcroit, je vais en référer à la Brigade du Goût, ne pas aimer François Corbier est sévèrement réprimandé par l’article 225-1 du Code du Bon Goût ( véridique!)

-Ton compte est bon mon gaillard ! Menottez-moi ca Douglas !

Une poignée de minutes plus tard, dans le bureau de l’inspecteur MacDonald… ce dernier venait d’arriver sur les lieux, à la demande des agents Bullit et Ripper

-Bonté divine, ce type ressemble comme 2 gouttes d’eau à mon cher Thomas Ketchup ! Enfin sauf qu’il a les yeux verts et que mon assistant les a émeraude !

-C’était l’erreur de trop ! fit Bullit. Ce gougnafier détenait des documents compromettants à notre égard, il prévoyait certainement de les dévoiler au même titre qu’il a odieusement voulu nous faire croire que vous, MacDonald, étiez l’auteur de ces vols… en se faisant passer pour Ketchup !

-Diantre, quel scénario époustouflant ! Je n’avais plus vu ca depuis Piège de Cristal !

-C’est vrai j’avoue, fit le triste individu, mon vrai nom est Roger Mayo et j’ai été engagé pour “couvrir” toute cette affaire. Mais il faut me comprendre, mon père buvait et ma mère louchait.

-Cela sera communiqué au rapport, mais avant nous avons besoin d’une information capitale : Russie ?

-Moscou !

-Le bougre, il n’est pas mauvais ! Ceci dit, j’aurais aussi besoin d’une information tout à fait subsidiaire, mais qui peut-être nous permettra de continuer l’enquête… qui sont vos complices ?

-Ca je ne peux pas désolé… ils m’ont promis la mort par asphyxie nasale si je les dénonçais !

-Quelle horreur, j’ai déjà assisté à ce genre d’exécution, fit MacDonald, le pauvre bougre était attaché à un poteau tandis qu’un gang de portoricains pétomanes gavés de cassoulet firent leur office… la victime mourut au 13e prout…

-C’est abominable, fit Ripper, mais vous pouvez parler sans crainte, le FBI vous protégera ! N’oubliez pas que sur nos 500 derniers témoins, seulement 70 ont été retrouvés morts étranglés dans leur propre appartement, et à peine 30 ont été tués par balle en plein jour. Sans compter les 80 autres qui se sont suicidés et les 120 qui sont décédés de mort naturelle dans les 2 mois suivants, cela dit cela n’avait aucun rapport selon le médecin légiste, le docteur Jean Quille.

-Me voilà rassuré : les tètes pensantes de ce complot ne sont autres que Sir Noël Gallagher et Sir Roger Moore !

Quel flair ! Il aura fallu seulement 7 pages à Bullit et Ripper pour découvrir l’identité des coupables ! Moi je dis, ca vaut bien une petite page de pub pour se remettre de ses émotions !

!!! Pub !!!

Avide de sensations fortes ??? Prêt à tout quitter pour l'aventure ???

Rejoins le Club "Ohlala-Nous-Nous-Amusons-Réellement-Diantre !"

 Le C.O.N.N.A.R.D vous accueille chaque lundi entre 6h et 6h30 , au programme :

strip-poker avec des poulpes, saut à l'élastique sans élastique, plongée en apnée dans les marécages de Pétaouchnock, roulette russe ( vraies balles si supplément , le règlement se fait avant les activités ! )

Tu en as l'eau à la bouche ?? Tu m'étonnes, petit chenapan !! Alors rejoins vite le C.O.N.N.A.R.D, tu verras tu ne seras pas dépaysé !!

Reprenons si vous le voulez bien :

-Inspecteur, nous avons lancé un avis de recherche concernant sir Roger Moore et sir Noël Gallagher : il s’avère qu’ils ont déserté leurs domiciles respectifs , et se sont réfugiés dans un recoin sombre de NewPork, dont l’adresse m’a été communiquée par fax

-Par qui ?

-Voyons ne faites pas l’idiot Douglas… l’identité de ce mr.Fax nous est totalement inutile !

 A présent, nous devons coincer ces 2 salopiauds et mettre un terme à cette enquête qui n’a que trop duré !  Ma femme et mes enfants m’attendent avec impatience !

-Voyons Bullit, vous êtes célibataire !

-Raison de plus, Ripper, raison de plus !

Les 2 agents se rendirent à l’endroit susnommé, accompagnés de renforts pour appréhender les malfaiteurs…

-Hé vous, par ici ! fit MacDonald en désignant un jeune unijambiste

-Agent Bamboi, au rapport ! Vous voulez que je vous couvre, inspecteur ?

-Il va falloir être rapide et discret, fit Bullit, sinon les malfrats risquent de prendre leurs jambes à leur cou!

-Vous êtes armé ?

-Mon barillet est vide… ca me fait une belle jambe !

-Bullit, vous êtes consigné dans votre chambre pour abus de vannes foireuses!

-F.B.I !!! Vous êtes cernés ! Rendez-vous sans sommation !

-Non, nous avons besoin des otages vivants, fit Bullit, relâchez Sommation !

-Bonté divine,fit Sir Gallagher, nous sommes faits comme des rats ! Y-a-t-il une issue de secours ?

-Ben euh non, fit Sir Moore, s’il y avait une issue de secours, nous pourrions nous enfuir et toute cette enquête n’aurait servi à rien ! C’aurait été dommage quand même !

-Roger t’es trop con, tu sors…

Soudain, Bullit enfonça la porte avec sa prestance habituelle, et surgit dans la pièce tel un épouvantail dans un champ de mais :

-Au les mains sacripants ! Je vous arrête pour le vol des collectors de Sim&Topaloff et de François Corbier !

Ripper arriva à son tour sur les lieux

-Bien joué Bullit !

-Tu reconnaitras la classe, quand tu t'la prendras en pleine face!

-Oscar Wilde?

-Non, Grand Master Flash!

Ainsi s’achève cette palpitante aventure… nous retrouvons nos 2 héros dans un petit pub traditionnel des lacs du Connemara (oui oui c’est toujours le même NDLR)

-Enfin cette enquête est terminée ! Je commençais à en avoir ras-les-espadrilles !

-Comme je vous comprends Ripper… moi-même, je commence à me faire vieux pour ce genre de boulot… Quand je pense que des salopards de la sorte vivent dans nos rues…subtiliser ainsi un collector dédicacé de François Corbier, connaissez-vous un crime plus inhumain ???

-Je l’avoue, la cruauté de la nature humaine peut parfois nous réserver des surprises…

Vous savez Bullit, personne dans le monde ne marche du même pas...

et même si la terre est ronde on ne se rencontre pas !

-Oui, les apparences et les préférences ont trop d'importance, acceptons les différences !

C’est sur ces quelques mots d’une profondeur sans nom, que nous concluons cette brillante enquête menée de main de maitre par les agents Bullit et Ripper.

Merci et bravo messieurs… une fois de plus, la main de la justice s’est abattue tel un couperet sur l’ignominie félonne d’un vil transgresseur de la loi…

-Euh ca va aller oui ?

-Quoi merde si on peut plus finir sur une jolie note de poésie…

FIN

 ::: ENFIN LA SUITE de l'enquète n°1 de Bullit & Ripper ! :::

Qu'ont découvert Bullit et Ripper ? Pourquoi Bullit tient-il tant à se laver les mains ?

Qui a caché le dentier de Miss Connery sous la cuvette des toilettes ?

Vous saurez tout cela dans :

Les aventures de Bullit et Ripper

Enquète° 1 : Mais qui a tué Harry Cover ?

Episode 2 : Promenons-nous dans les bois, tant que Black Shadow n’y est pas

-Et pourtant... Ca ne fait aucun doute... C'est bel et bien un exemplaire unique de "Ou sont mes chaussettes vertes", le même que celui qui était censé se trouver dans l'appartement de feu Sir Cover... et qui n'y était pas ! Et pourquoi donc, je vous le donne en mille ??

-Parce qu'il était ici !!!

-Bingo !! Nous en sommes arrivés à la même conclusion Ripper ! MacDonald a donc subtilisé ce cd, sans qu'il en soit fait mention dans le dossier...

-Mais enfin pourquoi ?

Serait-il un fan inconditionnel de Sim et Patrick Topaloff ?

Est-ce lui l'assassin ??

-Non, tout cela est trop rapide... reprenons depuis le début...

Richard Bullit, enchanté ! J'ai pris le premier avion... voyons ce que nous avons là :

mmh, ce cadavre m'a l'air plutôt mal en point, qu'en dites vous, Ripper ?

-J'en dis que je suggère d'aller interroger le jeune Thomas Ketchup, lui seul pourra nous donner des renseignements objectifs !

20 minutes + tard, dans une petite maison typique de pécheur, aux abords des lacs du Connemara :

-FBI !! Sortez calmement les mains sur la tète, sinon on défonce la porte et vous avec !

-Euh du calme Bullit, je vous rappelle que c'est un simple témoin que nous devons interroger...

-Ah ah ah vous vous êtes fait prendre mon cher Ripper, il s'agit d'un leurre !

 S'il est coupable, le suspect va paniquer et ainsi nous pourrons lui mettre le grappin dessus !

Bonté divine, j'ai oublié mon grappin dans mon autre pantalon, l'affaire se corse !

-Quelle ingéniosité !! Mais ou allez vous chercher tout cela, nom d'une poêle à frire ??

-C'est une technique que m'a apprise mon ancien collègue, William Saurin ... Paix à son âme !!!

-Il est mort ??

-Oui, sa mission était d'infiltrer le clan des yakuzas... il avait absolument tout prévu, à un détail près : il était noir.

On a retrouvé son cadavre recouvert de riz cantonais, flottant dans la baie de Wong-Tchi-Kong.

-Excusez-moi, je ne savais pas

-Oh, vous ne pouviez pas savoir...

-Ceci dit, si nous nous occupions du suspect ? Voilà bientôt 10 minutes qu'il attend sur le pas de la porte... good morning, Sir Ketchup !

-Good morning vous même, répondit d'un ton salace Thomas Ketchup, qu'est-ce qui vous amène dans ma modeste demeure ?

-Ecoutez, je vais être clair...

-Non, soyez vous-même Richard, le temps presse ! fit Ripper

-Je disais donc, depuis quand connaissez-vous l'inspecteur MacDonald ?

-Ca va faire 4 ans déjà... notre première affaire était le cas "Marcel Bélivow",

un sombre individu qui collectionnait les moumoutes de ses victimes... nous l'avons pris en flagrant délit alors qu'il s'attaquait à Jon BonJovi !

-C'est bien joli tout ca, mais êtes-vous sur de le connaitre réellement ? Et si je vous disais que l'inspecteur MacDonald est le suspect n°1 sur notre liste ?

-Dans ce cas, je suppose que je suis le n°2 ?

-Attendez, je vérifie... non le n°2 c'est Patrick Fiori

-Nous avons visiblement fait fausse route, allons nous-en Ripper !

-D'accord, mais avant , j'aimerais poser une dernière question de la plus haute importance à Sir Ketchup : quel est le plat préféré de Gérard Lenorman ?

-Euh , fit Thomas Ketchup d'une voix hésitante, je dirais la tourte aux asperges de Moldavie , mais j'ai un doute...

-Remarquable ! Venez Bullit, allons nous envoyer une chope de bière et faisons le point sur l'enquête...

Aux alentours de 0h30 du matin, dans un petit pub traditionnel des lacs du Connemara :

-Bon sang l'enquête piétine...

-Je ne vous fais pas le dire... il faudrait songer à interroger Francis Lalanne, il est en pèlerinage dans le coin, je suis persuadé qu'il pourra nous aider !

-Twingo ! Vous me retirez les bots de la mouche, Ripper... euh, je devrais peut-être arrêter le panaché au gingembre, ca ne me réussit vraiment pas...beuarglh... (bruit saugrenu provenant des tréfonds de l'estomac de Richard Bullit)

-Tenez, goutez un peu de mon irish-whysky-coca-coffee, ça va vous requinquer...

Aaahh le charme typique des petits pubs irlandais... vous savez Bullit, ca me rappelle mon enfance, quand mon grand-oncle Gustave me trainait de bars en bars jusqu'à que nous soyons saouls comme des porcs... c'était la belle époque... (soupir...)

-Que voulez-vous, le temps passe et ne laisse que des souvenirs... moi-même étant jeune, j'avais plaisir à batifoler avec ma petite cousine Samantha dans les champs du père Matthew , jusqu'au jour ou le destin nous sépara : elle fut enlevée par un commando de terroristes serbo-croates et fut violée pendant 40 jours avant d'être remise aux autorités ougandaises, privée de sa jambe gauche, la malheureuse...

-Quelle tristesse, les gens ne respectent plus rien de nos jours ! Allons le soleil va bientôt se coucher, nous devrions en faire autant........

-Bien dit !

Une petite pause s'impose...

Le soleil se lève sur les lacs du Connemara, il est seulement 6h30 quand Sir Joseph Tripplehorn, avocat de son état, émerge de son lit en forme de pastèque géante.

Il se dirige lentement vers la cuisine et se prépare une infusion à la noix de cajou, une spécialité locale.

Un vieux juke-box, que Sir Tripplehorn s'est offert pour Thanksgiving, diffuse l'un des plus grands succès de Corbier, "Laissez les mamies faire".

Voilà, le décor est planté. Le cerisier aussi. Mais laissons place à l'action...

(que diantre, vous en frémissez d'avance, petits canaillous !!!)

Sir Tripplehorn, tout occupé à sa dégustation de pancakes à la myrtille, ne fait pas attention à l'ombre furtive qui se faufile céans dans son salon.

Le douteux individu se glisse à l'arrière du juke-box et soudain, c'est le drame !

La musique s'arrête, la douce mélodie enivrante de François Corbier n'est plus...

Alerté par ce silence impromptu, Sir Tripplehorn se précipite vers son juke-box mais il est déjà trop tard : le forfait est accompli, et le précieux disque a disparu !!!

12h30 de l'après-midi , à quelques miles d'ici / maison de campagne de Francis Lalanne

-Bon sang, voilà bientôt 1/2 heure que je sonne et toujours pas de réponse !

Quelle outrecuidance !

-Pas de panique mon cher Bullit, il semblerait que notre ami ait déserté son logis...

allons jeter un coup d'oeil aux environs, et veuillez cesser de me chatouiller les poils du nez, j'ai une myxomatose des glandes nasales !

-Autant pour moi !

Nos 2 héros se plongent dans la forêt environnante, à la recherche du Sieur Lalanne.

Hélas, le brouillard s'en mêle, et les voila bientôt plongés dans l'obscurité des plus totales...

-Bullllliiiittttt !!!

-Ripppppeeeerrrr !!!

-Buuuuuuulllllllllliiiiiitttttttt !!!

-Riiiiiiiiiipppppppppeeeerrrr !!!

-Buuuuuuuuuuuulllllllllllllliiiiiiiiiiiitttttttttt !!!

-Riiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiipppppppppeeeeeeeeeerrrrrrrrrr !!!

Couvert par les cris réciproques des 2 agents, un mystérieux individu en profite pour s'infiltrer dans la forêt et se rapprocher en toute discrétion de Bullit et Ripper.

Il tient dans sa main droite une scie-sauteuse d'une blancheur éclatante ... dont il fait usage à l'encontre d'un vénérable chêne qui n'a rien demandé à personne, et qui bientôt plie sous la torture infligée à ses pauvres racines exposées à la véhémence de quelque misérable sabotageur de la nature...

-Timber !!!

Le malfrat ne peut s'empêcher de pousser un cri de joie retentissant : l'agent Bullit, vigilant comme c'est pas permis, se précipite alors vers son collègue, afin de le sauver d'une mort inextricable !

 Le chêne s'écrase lamentablement à quelques centimètres de nos 2 héros, enveloppés dans une épaisse couche de brouillard qui les dissimule aux yeux du malfaiteur.

Ce dernier, croyant avoir réussi son coup, file à l'anglaise.

C'était compter sans la prestance de Douglas Ripper qui se précipite à sa poursuite et le rattrape bientôt :

-Les mains en l'air, scélérat ! Retournez vous doucement, que je puisse contempler votre abjecte face de criminel !!

Stupeur ! L'individu porte un masque noir qui lui recouvre l'intégralité du visage.

Sur ce, Richard Bullit arrive sur les lieux à son tour, hélas il trébuche sur un nain de jardin qui entravait son chemin, et soudain, c'est le drame : il appuie malencontreusement sur la gâchette de son Magnum 747 et abat "The Black Shadow" (car c'est bien de lui qu'il s'agissait, tu l'avais deviné lecteur !!!) de 8 balles dans la poitrine et 3 balles dans l'oreille gauche.

Le sinistre individu s'écroule dans un silence de mort...

-Diantre ! Vous auriez au moins pu attendre qu'on lui pose 2 ou 3 questions avant de lui régler son compte !

-Fouillons-le, nous trouverons peut-être quelque indice compromettant...

-Regardez Bullit, une photo de nous ! Cet individu n'était donc pas un simple bucheron un peu maladroit ! C'était un assassin, et nous étions ses cibles !

-Sacrebleu, vous avez raison !

La perspicacité de l'agent Ripper a une nouvelle fois fait mouche !!

Mais nos 2 agents réussiront-ils à coincer les malfrats qui ont tenté de les faire assassiner ? Et surtout, retrouveront-ils Sir Francis Lalanne, à moins qu'il ne se soit égaré dans les bois à tout jamais ? ( diantre, quelle perte incommensurable cela serait pour la chanson française !!)

Vous saurez tout cela et plus si affinités dans le prochain épisode !!!

Bonjour et bienvenue sur mon nouveau blog amis lecteurs !

Ce blog sera très différent de http://mauvaisesnouvelles.centerblog.net/, que je poursuivrai en parallèle de celui-ci !
Vous voulez des héros sombres et torturés, des nouvelles noires et cyniques, allez consulter l'autre blog de ce pas ! Vous voulez vous détendre et vous amuser un peu, alors vous serez à votre place ici, enfin je l'espère !  Au programme : des histoires ou des contes, parfois sous la forme d'écrits, et parfois sous forme de BD !

Trève de bavardages, place aux "droles de nouvelles" avec une première enquète écrite de Bullit et Ripper divisée en plusieurs parties !

Les aventures de Bullit et Ripper

Enquète° 1 : Mais qui a tué Harry Cover ?

Les lacs du Connemara, 12h30 de l'après midi.

Il fait déjà nuit dans la petite ville de NewPork quand une ombre furtive se glisse discrètement dans la maison de Sir Harry Cover, jardinier de son état.

L'inconnu pénètre dans le séjour, avançant à tâtons.

Soudain, c'est le drame : il trébuche et renverse la pile de cds de Sir Cover, parmi lesquels figure le remix disco de "Ou sont mes chaussettes vertes" de Sim et Patrick Topaloff, signé de la main (moite) de ces deux incommensurables auteurs.

Le bruit alerte Sir Cover qui enfile ses bas de laine et sort, haletant, de sa chambre à coucher.

 Il se retrouve alors face au malfrat qui n'a plus aucune échappatoire.

-Diantre ! Que faites vous ainsi vêtu d'une combinaison de plongeur serbo-croate dans mon salon fraîchement repeint ?

-Figurez-vous que le peintre est un escroc, les couleurs sont très mal accordées : ce jaune écarlate m'abîme les yeux, il ne se marie pas du tout avec le pourpre de vos rideaux !

Hélas, Sir Cover se laisse abuser par le vil personnage : il enfile un monocle et file inspecter le fait accompli.

Le traître en profite alors pour lui asséner un coup d'une violence inouïe à l'aide d'une clef à molette subtilisée à Sir Matthew Fletcher, épicier de son état : Sir Harry Cover s'effondre à terre, inanimé.

Générique (honteusement copié sur un collègue policier et coureur de jupons)

Une ombre file dans la nuit,

 c’est un assassin qui s’enfuit,

   et comme un démon il sourit,

      son crime restera impuni

Episode 1 / J’voulais dire un truc mais Sean Connery

Le lendemain matin , autour de 17h30

L'inspecteur John MacDonald arrive sur les lieux, suivi de son fidèle assistant, Sir Thomas Ketchup.

Après un rapide tour des lieux, il se penche sur le corps toujours inanimé de Sir Cover :

-C'est un cas intéressant, je dirais qu'il s'agit d'un suicide par injection de rutabagas yougoslaves

-Pardon de vous contredire, fit Thomas Ketchup, mais la production de ces rutabagas a été interrompue en 1924, suite à la pénurie de tomates vertes qui a touché le pays l'année précédente : il ne peut donc s'agir que d'un meurtre !!!

-Diantre, cela dépasse mes compétences ! Il faut faire appel aux 2 meilleurs agents du FBI du monde, j'ai nommé :

-Richard Bullit, enchanté ! J'ai pris le premier avion... voyons ce que nous avons là :

mmh, ce cadavre m'a l'air plutôt mal en point, qu'en dites vous, Ripper ?

-Douglas Ripper, au rapport ! Je dirais même plus, il a l'air mort. Ceci dit, j'aimerais bien savoir pourquoi on nous a fait venir, j'ai une conférence sur la gay-pride à 17h14 et je ne voudrais pas arriver en retard.

-Eh bien, il s'agit de retrouver le meurtrier, fit l'inspecteur MacDonald, ça ne va pas être facile car il n'a pas laissé d'empreintes...

-Mmh Très bien, fit Bullit, dites à votre assistant de me fournir la liste de tous les manchots résidant à moins de 20 kilomètres à la ronde...

-Si vous voulez, je peux vous donner un coup de main

-Certes, nous devons mettre la main sur ce malfrat

-En espérant que nous n'ayons pas perdu la main

-Prouvons que nous sommes les meilleurs, au risque de passer la main

-Trêve d'humour glacial et sophistiqué, allons interroger les pèlerins.

Note des sponsors : après cette intro digne des meilleurs épisodes des Experts, il est temps de passer une page de pub pour la ménagère de moins de 50 ans.

!!! Pub !!!

La lessive Fitoutchelli, lave plus blanc que blanc !!

( ne pas introduire de noir dans votre machine à laver... ni de chinois d'ailleurs )

La lessive Fitoutchelli, vous débarrasse de toutes les taches !!

(ne fonctionne pas avec Patrick Juvet et Plastic Bertrand)

La lessive Fitoutchelli, à consommer sans modération !!

( avec du parmesan, c'est encore meilleur !!!)

Reprenons si vous le voulez bien :

-Inspecteur Richard Bullit ! Vous êtes bien Sir Sean Connery ?

-C'est moi-même, que puis-je pour vous ?

Le vieil homme répondit d'un ton posé.

Il se tenait assis face aux 2 inspecteurs, le regard éteint.

-Vous étiez le voisin de Sir Cover, du moins jusqu'a hier soir car à présent vous êtes le voisin du cadavre de Sir Cover, ce que je voudrais savoir c'est ce que vous avez vu entre 12h29 et 12h31

-“Ricky ou la belle vie”, si je ne m'abuse... vous savez, l'épisode ou le jeune Ricky emmène Mindy au bal et ou il tente de l'embrasser sur les fesses

-Vous n'y êtes pas , fit Ripper, ce n'est pas ce dont nous voulions parler... et de toutes façons, c'est ce sale enfoiré de Micky, le meilleur ami de Ricky, qui va finir la nuit avec cette petite pute de Mindy... raaaahhhh si je le croise sur mon chemin !!!

-Gardez votre sang-froid Douglas, je suis sur que Sir Connery en sait plus qu'il ne veut bien nous le faire croire... et de toutes façons, Micky est gay, il sort avec Billy dans la saison 3

-Eh bien oui, j'ai aperçu une ombre furtive se glisser hors de la maison de ce pauvre Sir Cover mais je n'ai pas eu le temps de relever le numéro de la plaque d'immatriculation !!

Le sang de Bullit ne fit qu'un tour : la fenêtre de Sir Connery donnait directement sur la cour de Sir Cover, il semblait donc peu plausible que le vieil homme n'ait pas su distinguer le malfrat, sauf s'il s'agissait de Gilbert Montagné affublé d'un costume grossier de lord écossais ( cette hypothèse sera reprise ultérieurement...enfin finalement non NDLR)

-En êtes vous bien sur ? Sachez que si vous nous cachez des informations, nous avons le pouvoir de vous faire enfermer dans les coulisses de Ya que la Vérité qui Compte... la dernière personne qui en soit sortie vivante a aujourd'hui perdu la raison , et erre dans les couloirs glacials de l'asile psychiatrique de Pensington.

-Ou bien nous pouvons tout simplement réquisitionner votre mobilier, y compris votre chaise roulante (rire sarcastique)

-Quitte à tout prendre, prenez mes gosses et la télé, ma brosse à dents, mon revolver, la voiture ça c'est déjà fait, mais vous n'aurez pas ma liberté de penser !

-Un mot de plus et j'en réfère à la Brigade du Goût, espèce de saligaud !

-Venez Ripper, nous perdons notre temps, de toute évidence cet infirme refuse de nous aider...

-Ok, ça roule...

Au même moment, un peu plus loin (3 rues pour être exact, vous prenez à droite après le coffee-shop de Sir Nathan Followay, vous passez devant le supermarché et vous y êtes... )

2 hommes sont en pleine discussion : il s'agit de Sir Roger Moore, acteur de son état, et de Sir Noel Gallagher, musicien de son état (dans un groupe dont nous tairons le nom pour des raisons de bienséance…)

-Mon cher, je crois que la situation se complique : 2 agents du FBI sont arrivés tout à l'heure à NewPork, il s'agit des célèbres Bullit et Ripper !

-Diantre, il ne faut pas prendre ce nouvel élément à la légère ! Une petite larme de thé au gingembre ?

-Vous êtes bien aimable, mais ma tasse est déjà pleine d'anti-gel. Je disais donc, il serait raisonnable de les écarter de l'affaire

-Sans nul doute, très cher ! Je pensais faire appel à celui qu'on appelle "The Black Shadow" !

-Bon sang mais bien sur ! Il s'était avéré redoutablement efficace dans l'affaire Popeye-251, c'est notre homme, assurément ! Souvenez vous avec quelle maestria il avait dégusté ce plat d'épinards à la carbonara !

-Pas de temps à perdre, je vais le contacter.

Sir Roger Moore saisit alors son ordinateur portable.

 Il tape son code secret que nous ne révélerons pas ici pour des questions d'éthique, et se connecte à tueurs-à-gages.com

-Ici Black Shadow... Parlez vite, je n'ai pas une minute à perdre : je dois aller réserver le nouveau Jean-Claude Van Damme à mon vidéoclub

-Ici Roger Moore, je veux que vous vous occupiez du cas Bullit et Ripper... faites ça vite et discrètement !

-Mais c'est bien pour ça qu'on m'appelle "The Black Shadow" ! Ah ah ah (rire sardonique)

Je veux 20000$ comptants sur mon compte en suisse, et 20000 de plus une fois le contrat rempli... ah oui et je voudrais aussi une pizza aux fruits de mers.

-Ce sera fait, mais si je vous donne 20000$ pas content, faudra pas vous étonner mon vieux !

Ah ah ah (rire franc et sincère...ok j’en rajoute un peu NDLR)

Jetons un voile pudique sur cette scène d'une cruauté sans mots, et revenons à nos 2 célèbres héros internationaux, en pleine réflexion dans le bureau de l'inspecteur John MacDonald :

-Bullit, je vous dis que ça ne rentre pas ! N'insistez pas !

-Je ne comprends pas, j'avais pourtant bien précisé taille XXL !

-La prochaine fois, vous serez plus vigilant... allons, arrêtez de tripoter cette poupée gonflable à l'effigie de Simon&Garfunkel et venez jeter un oeil à ces documents confidentiels que m'a confié l'inspecteur MacDonald...

-Je me lave les mains et je suis à vous ! Oh oh, voyez vous ce que je vois Ripper ?

-Tout à fait !! Qu'est-ce que ça peut bien être ? C'est étrange...

-On dirait... non ! C'est impossible ! Je ne peux y croire !!

-Et pourtant...

Qu'ont découvert Bullit et Ripper ? Pourquoi Bullit tient-il tant à se laver les mains ?

Qui a caché le dentier de Miss Connery sous la cuvette des toilettes ?

Vous saurez tout cela  et plus si affinités dans le prochain épisode !!!